II. A quel étage j'erre? (je sais c'était facile)

(Suite de: https://marshmallow.actifforum.com/viewtopic.forum?p=134#134 )

[Forum: La salle des dames]

Voilà 10 minutes que je le suis…on est à peine arriver et déjà c’est la galère.


« Tu…tu sais où on est ? »
« Ici »
« C’est donc ça qui m’échappait…je me demande s’il y a une taverne dans le coin… »


On tourne à droite, à droite, à droite oh ! À gauche… il renifle quoi là ?

Je peux dire sans me tromper…qu’on est complètement paumés !
Enfin plus que d’habitude j’entends…

Après avoir crapaüter dans tous les couloirs Kaev se décide enfin à « ouvrir » une porte.
« Alors c’est quoi ?? »

gniiiiiii... (porte qui s'ouvre en grinçant)

"C'est... "

Oh. Oh là. Oh mon d... Bref.

Une salle, pleine de femmes. A m'entendre, on pourrait penser à un regroupement de femmes de petite vertu en tenue légère... Eh bien non, c'est bien plus choquant que ça.

Tout d'abord, ces femmes sont vêtues, des pieds à la tête. Bien plus choquant pour moi, qui ait l'habitude de me balader tout nu revêtu uniquement de mes écailles, que des femmes nues.

Ensuite, elles gloussent, certaines chantent, certaines se mettent des peignes dans les cheveux, certainent brodent, certaines bavardent, mais ce faisant, elles gloussent toutes.

C'est un des pires donjons que j'aie jamais connu... Quelle horreur, même dans les infernales geôles putrides de Shazaamar le Fétide, je n'ai contemplé pareille atrocité. Des femmes qui brodent, chantent, pépient...

Je dois absolument empêcher Enki de...

"Mais... mais j'hallucine là!! "

Trop tard. Place au carnage.

Ludwiguane en démon arriva

"Tiens vous... Oh non pourquoi n'allez vous qu'aux endroits réservés aux femmes? Je voulais savoir ce que vous étiez venus faire ici!"

"Oui ben fermez la porte !!!! Et maintenant répondez à la question de Lud.
Que faites vous ici ???"

Etrange les autochtones…après le squatte des toilettes , il nous suivent jusque là…
…
J’espère qu’ils n’en veulent pas à la vertu de Kaev…
mouhahaha !!!…à la vertu de Kaev !…hum. Bref.

Bon comment on dit déjà… ah oui…
« Voyez vous gente damoiseau, il ne nous sied guère d’accéder à votre requête…heu…car…nous n’en savons foutrement rien…on débarque ici...et on repart dés qu’on peut… ».
Je me retourne vers Kaev qui tripote nerveusement ses mains… pas bon signe ça.

« Et vous… »
« Ouvre la encore une fois et je te fais bouffer des marshmallows. »
"Mais vous… »
« mansum marshmallow !!!... Voila alors tu vas sans doute mâcher quelques temps…mais c’est pour ton bien… comme ça Kaev va pas te brûler au 32éme degrés…oh…j’espère que tu aimes ça ? »
« murf »
« De rien. tu crois que je passe un niveau quand je lance un sort dans un autre ...plans astral? »

Kaev grogne mais ne lache pas des yeux le...le...l'être à coté de nous.

Je me penche vers Zorig…
« ah oui...au fait Kaev…c’est un mâle…ouais…quoique j’ai jamais vérifié…mais je te conseil de pas…heu…le provoquer sur ce terrain…ni en fait sur aucun autre…il est pas…heu…sympa…mais quand on commence à la connaître il…heu…frappe moins…non. C’est même pas vrai. »

Je le sais c’est pas rassurant…mais d’un autre cote ça fait une journée qu’on est là et il a encore rien flambé…c’est un progrès.

« Heu…dis…heu…on fait quoi maintenant ? On libère les femmes ? »

*murf grnmmm chump gn... glups*

"Tu fais ce que tu veux mais je reste pas avec 2 malades NA !"

Déjà j'aime pas les enfants... Mais alors les gobelins... Remarque, il a facilement réussi à se libérer du marshmallow... Et puis, il a détourné l'attention d'Enki de toutes ces potiches gloussantes. Du moins pour le moment.

Enfin bon, le gnome s'en va, génial, on va pouvoir passer aux choses sérieuses...

Alors, dans l'ordre.

1. Je frappe Enki, de manière presque accidentelle (en faisant semblant de m'étirer), pour le coup de non-vérification de ma mâlitude.
2. Je réitère (cette fois en faisant semblant de faire craquer mes vertèbres) pendant qu'elle est encore un peu sonnée.
3. Je ne maquille même pas ma troisième fois et j'y vais franco, de toutes façons elle est déjà assez amochée pour plus trop faire attention à ce que je fais. Et ce coup-ci, c'est pour ma soit disant violence. Allons donc.
4. Et une dernière pendant qu'elle semble essayer d'empêcher sa tête de tourner. Celle-la, c'est juste pour le fun.

Bon, histoire de ne pas perdre de temps, je la prends pas le col, légèrement vaseuse, m'excuse vaguement avec la servilité hypocrite qui me caractérise, puis la balance négligemment sur un des fauteuils (avec un petit naperon sur le dessus) non occupé par les pintades bavardes...

"Ca va? "

Intérieurement, je jubile, mais il s'agit de ne pas le montrer.

"Qu'est ce que je disais...Enfin ici on est habitué aux malades...Alors, je reste, mais je suis prudent, je préfère rester sous la terre"

Sur ces mots, Zorig s'était déja enfoui sous la terre

Il m’a frappée…mine de rien comme ça…et les autres ils ont pas bougé d’un poil…
ma vengeance sera terrible !!!!!

« Non pas vraiment…ve…ve… te déteste ! fu m’as encore fracafé le nez ! f’est interdit de cogner sur fon invocatrice ! » Dés que je retrouve l’usage de mes lèvres ils vont…heu…goûter à la fureur d’Enki !!!!!
…
rhhhhha le bougre. Je me disais aussi…Enki il a pas détruit un truc depuis la veille au soir…fais gaffe…

« Et v'ai rien dit de mal !!! T’es méfant avec moi ! »

Je sais…je sais…j’en suis consciente.
Avec les yeux pleins de larmes en train de tripoter ma robe je fais pas tache dans le paysage…
Au milieu de plein de femmes…qui font…des trucs de femmes…
…
J’en ai marre.

« Tu fais…vraiment…j’avais penfé avoir depaffé ce stade avec toi… on est tout les deux dans un monde hoftile…plein d’ennemis aufour…et tu te défoule fur moi… »

Je renifle en le regardant avec mes grands yeux humides.

Je lui expliquerais bien que c'est plus fort que moi, que j'ai besoin d'un truc que je connais auquel me raccrocher sur ce monde hostile, et que pour soulager les nerfs le mieux c'est que ce soit un souffre-douleur... Mais je ne suis pas sur qu'elle comprendrait bien le concept... Alors je me contente d'un vague "J'l'ai pô fait exprès", on ne peut plus crédible... Enfin, crédible si on n'est pas mon invocatrice avec un nez en sale état qui commence à connaître mon caractère. Ce qui fait qu'à mon avis, elle ne me croit pas...

J'en serais presque à regretter mon acte (j'appuie sur le "presque"), et j'essaie maladroitement de la réconforter. Evitant de lui tapoter l'épaule, puisque j'ai compris qu'elle n'aime pas trop qu'on lui maltraite la clavicule, je saisis la broderie d'une des quiches aux oestrogènes qui fait tapisserie (c'est le cas de le dire... bref...), sans prêter attention au couinement indigné qu'elle émet, et lui tamponne avec un maximum de douceur (et c'est très rare chez moi) son appendice déformé et déversant des flots d'hémoglobine au sol. Elle n'a pas l'air d'avoir plus mal quand j'éponge son sang que quand je ne le fais pas, je considère donc que je lui fais pas plus mal.

Kaev, mon grand, il est temps de te ressaisir. Ce petit truc roux qui pleure et parle est un être fragile et relativement important dans ton existence, puisque si elle meurt il n'est pas sur que tu sois automatiquement renvoyé chez toi... Il va falloir en prendre soin, ne pas l'abîmer, ne pas trop la prêter aux autres, la protéger, bref, commencer à faire ton boulot sérieusement si tu ne veux pas te faire saquer de chez Invocation, Mysticisme &Co...

Allez, prends sur toi, respire... Ne ferme pas les yeux, garde courage... Respire à fond... vas-y!

"..."

Ca sort pas... On recommence... Allez, de la motivation quoi, grand lézard! Vas-y!

"Euh... je suis... désolé... maîtresse. "

Tu vois, c'était pas si dur d'être gentil!
Non, ce qui va être dur, c'est la suite...
Ne détourne pas le regard... Affronte-la...

Bon sang… bah alors là.
Y’a un truc… Forcément…
il m’éponge le nez…et…me dit qu’il est désolé ? ….
Et ça parait presque crédible …forcé certes...mais crédible.
Bon rat.


« Tu es certain que ça va ?heu…tu veux t’asseoir ? Un verre d’eau...heu… »

Je le regarde d’un air inquiet…forcement c’est inquiétant…j’ai même plus envie de me venger.

« Non rien …mm…me…mer…merci. »

Par tout les dieux. C’est pas banal.

« Ok…heu…ben c’est rien va…je ..comprend… c’est que quelques litres de sang…pas grave.(argh)…heu…on fait quoi maintenant ? »

Ouf... J'ai survécu. Bon, une nouvelle ère commence, une ère de bonté, de douceur, d'honneur, de devoir et de loyauté... Bref, une ère où on va sacrément se faire chier. Surtout moi. J'aurais mieux fait d'éteindre mon bipper le jour où cette greluche m'a convoqué.

Bref, maintenant que je suis un mec bien, il faut que je réponde à ses questions... Avec sincérité. Génial, ça va devenir plus rigolo.

"Aucune idée, c'est toi qui porte la culotte. Enfin, vérifie, on ne sait jamais, avec tous ces autochtones qui te tournent autour... "

Je suis son serviteur loyal et fidèle, mais faut pas pousser, j'ai encore le droit de me servir de ma langue. Encore que, avec ce que je viens de dire on pourrait presque croire que je suis jaloux... Mouahaha... J'aimerais bien, qu'on rigole un peu...

"Dieu a dit... euh... qu'est-ce qu'il disait déjà ce con? ...Ah oui. Dieu a dit: "Lève toi et marche! "

...A moins que ce ne soit mon oncle Norbert? Je sais plus, à force, je les confonds... Pour moi tous les vieillards gâteux se ressemblent.

Bref, je saisis la main d'Enki et la tire du fauteuil. Le bras craque légèrement sous ma poigne. Oups. Pour une fois que je ne voulais pas (trop) lui faire mal...

Aïeuhh… pfffff…j’en ai marre.
j’voudrais dormir…

« Mouais…la culotte hein ? Pour combien de temps encore je me demande… »

C’est ambigu...
Non ? …
Non toute les personnes présentent ont un esprit pur… aucun second degré…n’est ce pas ?
Argh.

« Quand à lève toi et marche…ben ça sera sans doute plus facile quand tu aura plus ta patte sur ma robe……..merci. »

Je regarde alentour...que des femmes…et heu…une bosse dans le tapis…
Bien,bien…que faire…les laisser là à se morfondre d’avoir un nœud dans le fils ?
…
Remarque d’un autre côté c’est tranquille…pas de Kaev…pas d’incendie…pas de bleus…pas de….aaaahhh…finalement elles sont bien là.

Je regarde Kaev.
« Me faut un verre...non…deux…et un lit. »

Je ne rougis même plus à ses phrases ambiguës... L'habitude, sans doute. Bon, elle regarde avec une certaine d'ose de... d'envie? C'est toujours la même Enki là? La magicienne minable qui rêve qu'on l'appelle la grrrrande Enki? Qui a l'air de regretter de ne pas être une potiche? J'ai du la tap er trop fort là...

Bon, je vais voir si je trouve quelque chose pour lui remonter le moral... D'abord, on va changer sa robe, ses frusques tâchées de sang nasal ne font pas très sérieux.

"Toi là!
- Poui?
- Donne ta robe.
- Pouiii?
- Arrête de couiner et fait ce que je te dis.
- Poui pon.
- Je suppose que c'est un refus. Tant pis pour toi, je vais te faire pareil qu'à elle, fis-je en désignant la face congestionnée de ma maîtresse. En pire. Parce que ce coup-ci, je vais être énervé.
- Poui poui poui!
- Je préfère ça. "

Et la potiche se désape totalement de sa longue robe prune, qui a de la gueule, il faut bien le dire. Puis elle me la tend d'une main tremblante et outrée, et court se réfugier derrière un fauteuil (avec un naperon). Je finis d'essuyer le nez d'Enki avec sa robe, puis place trois fauteuils contre un mur pour en faire un paravent, l'envoie derrière et lui file la robe.

"Change-toi. "

Puis je pars en reconnaissance dans les couloirs. Je reviens dix minutes plus tard, avec un litre d'hydromel subtilisé par la ruse(1), une couverture assez confortable et bien chaude (qui a servi pour protéger un cheval du froid, mais on ne peut pas tout avoir...), et un jeune page de château.

Le page, c'est pas pour ce que vous croyez, tas de pervers, je veux remonter le moral d'Enki mais pas à ce point... D'autant que lui offrir un amant, à elle, c'est un coup à lui filer un infarctus. C'est juste que le page est l'apprenti d'un apothicaire, et va me servir à panser son nez blessé. Sinon je le crâme. Enfin, le deal habituel, quoi...

(1) secouer un garde jusqu'à ce qu'il me dise où il planque son alcool.

Je rêve ça peut pas être autrement.
Il m’a sûrement trop frapper…ou alors c’est le changement de plan…peut être l’air… ou l’eau des latrines…ah non... j’en ai pas bu…
…
J’en reste comme deux ronds de flan…il a même pensé à ma pudeur !
…
Et il revient avec un homme !!!

« L’apothicaire…enfin presque… son apprenti…L’autre a couru trop vite. »
« Oh...ok…bien. »

Sourire.
Soupire.
Heu… ire ...contre la robe…

« Heu…hum…Kaev… j’arrive pas…heu…à fermer la robe…c’est des trucs bizarres à fermer…des petits trucs en plastique qu’on enfile dans d’autres… ça aurait éte plus facile avec des pressions si tu veux mon avis… »

Il grogne…

« Oh !!!Mais…c’est super hein !!! Heu…j’ai juste besoin d’aide. »

Je me retourne doucement, soulève mes cheveux et grimace en attendant le coup de pied au fesses… voire pire…

Ma pire hantise, enfin matérialisée. J'aurais du mieux observer cette robe...

Car devant moi se dressent, arrogantes et sournoises, cliquetant de sadisme contenu et de machiavélisme fourbe, les armes les plus terrifiantes pour l'honnête homme depuis l'invention de la hache à quadruple tranchant: les attaches de soutien gorge.

En plus, là c'est même pas pour les défaire... mais pour les mettre. Et y'en a pas une ou deux, comme sur tout soutien-gorge qui se respecte, mais des dizaines, qui ferment la totalité du dos...

Bon, j'ai promis, il faut que je m'y colle.

Après deux minutes de travail acharné, je parviens à fermer la première attache, en bas.

Cinq minutes après, la deuxième (c'est toujours la deuxième la plus compliquée, je sais pas si vous avez remarqué...).

Deux minutes, la troisième... Je commence à prendre le coup de main...

Hop, la quatrième... la cinquième...

Je commence à les enchaîner... La Salamandre a vaincu la machine...

Hop, d'une main, sans les yeux... Le doigt derrière l'attache, on tire, on attache, hop...

"Euh... Kaev? "

Allez, toujours les yeux fermés, la suivante...

" ...Kaev? "

Elles sont plus difficiles, ces deux là... Mais c'est un défi, je le relève jusqu'au bout... Une main, sans les yeux, mouvement de l'index, je tire...

"OOOH!! Kaev! "

J'ouvre les yeux.

"Quoi?
- Tu sais, les attaches déjà fermées, c'est pas la peine de les enlever. Tu... tu peux me rendre ça, steuplé? "

Je baisse les yeux sur ma main. Dedans se trouve le... le... Oouuups...

Son soutif. La gaffe.

Non Enki concentre toi sur autre chose que les gloussements de la salle…
…
Par tout les dieux…
Je le savais en plus ! Me suis dit : « avec les pattes qu’il a, jamais va y arriver. »… et maintenant il y arrive tellement bien qu’il s’arrête plus…encore une et il passe un niveau je suis sure…

ben…gardons la tête haute. Je récupère mon bien discrétement... à la vue de tous.

« Tu peux te retourner ? »

Demi-tour droite parfaitement exécuté.

Je m’assois par terre bien planquée derrière les fauteuils et me contorsionne comme le veut la coutume.

« Tu…tu as besoin d’… »
« Vais me débrouiller. Ça va aller. »

Et voila après deux trois coups de coude dans le mur, trois quatre grognements étouffés, je sors victorieuse de cette lutte acharnée.

Je me relève, remonte mes chaussettes, et regarde le reste de la salle.
Tout le monde à des yeux en boutons de bottines…remarquez on voit pas ça tout les jours…

« Ben…heu…je suis prête… »

Le page s’avance sous l’injonction du regard de Kaev et après deux applications d’un truc qui sent la poule moisie…je ne sens plus mon nez. Ce qui est une nette amélioration.

Le page se retourne et cavale vers la porte tel le…le…page moyen aux abords d’une salamandre.

« On la boit cette bouteille ? »

Je la détaille. Son nez commence à prendre une jolie couleur verdâtre, et émet une odeur fort désagréable. Evidemment, comme c'est sur SON nez, elle le sent pas. Sinon, sa robe est toute froissée après ses contorsions que par pudeur (et par crainte pour ma santé mentale) je n'ai même pas cherché à imaginer... Ca valait la peine que je déshabille une glousseuse tiens...

A part ça, c'est toujours la même, frimousse rousse aux yeux globuleux qu'une personne à la myopie frôlant la cécité pourrait qualifier de jolie...

Bon, ni une ni deux je dépiaute le machin en papier métallisé qui recouvre le goulot de la bouteille. Ah. Merde. Evidemment, bouchon de liège et tout ça...

"Je suppose que vous demander un tire-bouchon, mesdames, serait disgracieux en cette compagnie...? "

Pas de réponse. Tant pis, de toutes façons j'imagine mal une duchesse nunuche qui attend le retour de son prince charmant de mari sortir de sous ses jupons un tire-bouchon et nous aider à nous pochtronner parmi elles...

"Bon, nouvelle quête, maîtresse... A la recherche du tire bouchon perdu. "

Je me mets dans ces situations... Je suis dans un autre monde, en train de sortir d'une salle pleine de greluches à tapisserie, accompagnée d'une magicienne au nez vert odorant à chercher un tire-bouchon... J'espère qu'on ne publiera jamais mes aventures...

(Suite par là: https://marshmallow.actifforum.com/viewtopic.forum?p=159#159 )